Wednesday, April 18, 2007
Rêve du 18 avril
Emilie et moi devons impérativement nous procurer un porte-monnaie en cuir pour un anniversaire. L'heure est grave. Coup de chance : une maroquinerie très chic se trouve juste au coin de la rue.
Deux vendeurs, 1m90, beaux gosses bien habillés, raffinés, se précipitent vers nous.
- May I help you... sir ?
- Oui, nous cherchons un porte-monnaie.
- Ah vous êtes français.
Temps d'arrêt.
- Oui, ça vous pose un problème ?
- Non, mais vous devriez plutôt aller au magasin de... Marseille. Ahah.
Mon sang se fige dans mes veines.
- What do you mean by that ? You want me to talk to you in english, do you ?
- No, I want you TO WEEP.
Une rage incontrôlable s'empare de moi. Je bascule en mode berserk et me jette sur cet escogriffe, ce malotru, dans le but avoué de jouer au foot avec sa tête.
Emilie tente, en vain, de m'arrêter.
Le réveil sonne. Fin du rêve.
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Emilie et moi devons impérativement nous procurer un porte-monnaie en cuir pour un anniversaire. L'heure est grave. Coup de chance : une maroquinerie très chic se trouve juste au coin de la rue.
Deux vendeurs, 1m90, beaux gosses bien habillés, raffinés, se précipitent vers nous.
- May I help you... sir ?
- Oui, nous cherchons un porte-monnaie.
- Ah vous êtes français.
Temps d'arrêt.
- Oui, ça vous pose un problème ?
- Non, mais vous devriez plutôt aller au magasin de... Marseille. Ahah.
Mon sang se fige dans mes veines.
- What do you mean by that ? You want me to talk to you in english, do you ?
- No, I want you TO WEEP.
Une rage incontrôlable s'empare de moi. Je bascule en mode berserk et me jette sur cet escogriffe, ce malotru, dans le but avoué de jouer au foot avec sa tête.
Emilie tente, en vain, de m'arrêter.
Le réveil sonne. Fin du rêve.
